Séance du 28 octobre 2016

RELEVE DE CONCLUSIONS DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 28 OCTOBRE 2016.

Le Conseil Municipal de MONESTIER D’ AMBEL s’est réuni en Mairie le vendredi vingt-huit octobre deux mille seize, à vingt heures, sous la présidence de Jean-Paul BERTRAND , Maire.
Etaient présents : Jean-Paul BERTRAND – Claude SEGURA – Jean-Yves BURGUN – Marie-Hélène DANET – Georges CONTARD – Eric ROUX – Mireille SARRAZIN.
Secrétaire de séance : Jean-Yves BURGUN.

Relevé de conclusions de la séance du 17 septembre 2016 : il est approuvé à l’unanimité.

Défense incendie des hameaux : sur proposition de M. le maire, le Conseil Municipal donne son accord unanime pour que le propriétaire de la parcelle Charrier soit averti par lettre recommandée que la commune va procéder, sur l’emprise de la servitude établie, à des travaux de pose de canalisations pour mise aux normes de l’ alimentation et de protection incendie du hameau de Tardivières.

Frais de déplacement : à l’ unanimité , le Conseil Municipal autorise le remboursement des frais de déplacement engagés par les élus, pour les besoins de la commune. Ce remboursement n’ est pas systématique mais effectif lorsque les déplacements sont répétitifs ou lointains. La procédure réglementaire sera respectée.

Dématérialisation des factures : une circulaire de 2014 a mis en place cette simplification administrative qui deviendra effective par étapes. Au 1 er janvier 2017, elle concernera les factures émises par les entreprises de plus de 5 000 salariés et toutes les entreprises au 1 er janvier 2020.
Marie-Hélène DANET donne un compte-rendu d’une réunion d’ information organisée par l’ Association des Maires de l’ Isère à laquelle elle a participé.

Modification des statuts de la Communauté de communes : elle résulte de l’application de la loi NOTRe. L’avis de la commune est réputé favorable, s’il n’ est pas explicitement contraire sous un délai de trois mois. Le Conseil municipal fait le choix de ne pas s’exprimer.

Rapport sur le Prix et la Qualité du Service du Service Public d’ Assainissement Non Collectif 2015 : le Conseil Municipal confirme qu’ il a pris connaissance de ce rapport.

Forêt communale parcelles 18 et 19 : à l’unanimité, le conseil Municipal :
. approuve l’état d’ assiette des coupes de bois 2017
. précise la destination des bois coupés
. sollicite une aide du Conseil Départemental pour le bois énergie.

Questions diverses :

Glissement de terrain : situé à proximité de la « Fontaine de l’ Ours », il sera traité superficiellement.

« Fontaine de l’ Ours » : afin de rétablir son débit, une première intervention se limitera à une opération de curage.

Cabane de Serre Larron : il sera établi un diagnostic des désordres constatés au bâtiment, par visite sur place d’ une délégation de conseillers municipaux.

Logement communal : le locataire a fait connaître par lettre recommandée avec accusé de réception sa volonté de quitter les lieux, avant de se rétracter sous la même forme . Dans l’intervalle un candidat a fait connaître son intention de louer cet appartement.
Le Conseil Municipal, à l’unanimité, accorde sa préférence au candidat nouveau.

Eclairage public : afin de lever les incertitudes, une note sera remise à chaque conseiller municipal afin que la question du passage à un éclairage par LED soit clairement exposée.
En attendant, une visite pour changer les ampoules défectueuses sera demandée au SIEB.

Virage Martin : il a été constaté que des géomètres s’ activaient sur le terrain, preuve que le dossier se constitue.

Moyens techniques : à nouveau, une discussion s’engage sur le meilleur choix à faire pour doter la commune de moyens techniques d’ intervention. Tracteur ? Quad ? Véhicule 4×4 pick-up ?…..

La séance est levée à 22 h 30.

Séance du 27 octobre 2012

Le 27 octobre 2012, le conseil municipal s’est réuni à 15 heures 30 en Mairie sous la présidence de Monsieur COURTEAU maire, à la suite de la convocation adressée le 18 octobre 2012 et de l’affichage effectué le même jour.

Présents : Mmes ALLERME, DANET et SONJON.
MM BURGUN, CONTARD, COURTEAU, ROUX et SEGURA.
Excusé :
Nombre de membres du conseil en exercice : 9
Nombre de membres présents : 8
Nombre de membres représentés : 0
Le quorum est atteint.
M SEGURA a été désigné secrétaire de séance.

1 Abandon de l’usage des produits phytosanitaires dans la gestion des voiries communales

Le Conseil général de l’Isère a adopté, par délibération du 25 mars 2010, un dispositif d’éco-conditionnalité de ses aides aux investissements dans les domaines de la voirie, des réseaux et du bâtiment.
Concernant la voirie, les aides départementales sont désormais conditionnées, quel que soit le montant du projet, par l’engagement de la collectivité à abandonner l’usage des produits phytosanitaires.
Le conseil municipal après en avoir délibéré à l’unanimité
Confirme qu’il n’utilise pas de produits phytosanitaires, hors les produits acceptés en agriculture biologique, dans la gestion de ses voiries et dépendances et s’engage à continuer cette pratique responsable vis à vis des objectifs de développement durable.
Décision prise à l’unanimité.

2 Interjection d’un appel sur le rejet de la saisine du tribunal administratif concernant le SDCI

Lors de l’audience au tribunal administratif le 4 octobre dernier qui devait juger du recours déposé contre le SDCI, le ministère public a requis le rejet de la demande pour irrecevabilité car il s’agit d’un document à caractère préparatoire. Le jugement en date du 18 octobre a suivi cette demande. La théorie des actes préparatoires interdit de demander l’annulation de l’acte devant le tribunal administratif. Après en avoir discuté avec l’avocat maître Etienne TETE, il apparaît souhaitable de faire appel de cette décision en attendant de pouvoir déposer un recours contre l’arrêté définitif de création de la future communauté. Il est en effet important de se couvrir d’un revirement de jurisprudence à savoir que le schéma départemental de coopération intercommunale n’est pas un acte préparatoire, mais un acte définitif, devenu définitif en l’absence de recours. C’est pour ce motif qu’il apparaît nécessaire d’introduire un recours devant la cours administrative d’appel. Il est précisé qu’il n’apparaît pas utile de faire appel de l’arrêté de périmètre qui, lui aussi, pourrait être qualifié de « document préparatoire », par contre il sera toujours possible de contester l’acte final (acte de création).

Après avoir écouté l’exposé du maire, le conseil municipal
vu la délibération n° 7 du 17 juin 2012 décidant de déposer un recours contre le schéma départemental de coopération intercommunale
vu le jugement du tribunal administratif en date du 18 octobre qui juge irrecevable la saisine du fait que le SDCI n’est qu’un document préparatoire qui n’aurait pas d’effets concrets
décide de faire appel de la décision du Tribunal administratif,
confie le dossier à maître Etienne TETE avocat au barreau de Lyon et donne tous pouvoirs au Maire pour mettre en œuvre cette décision.
Décision prise à l’unanimité moins une abstention.

3 Délégation au Maire pour ester en justice en matière d’intercommunalité

Le maire demande au conseil de lui donner une délégation permanente pour saisir en tant que de besoin les tribunaux administratifs compétents dans le cadre du SDCI..

Le conseil municipal
Conscient de la nécessité de réagir rapidement face aux contraintes découlant du schéma départemental de coopération intercommunale. Il indique que chacun des actes ainsi pris doit être traité comme une délibération du conseil et déposé auprès du contrôle de légalité.
Vu l’article L 2122-22 du CGCT paragraphe 16
donne tous pouvoirs au Maire pour décider de saisir la justice tant en défense qu’en recours dans tous les domaines de la coopération intercommunale à charge pour lui d’en rendre compte au conseil qui suit.
Décision prise à l’unanimité moins une abstention.

4 Refus de l’arrêté préfectoral de périmètre de fusion des communautés de communes suite au SDCI

Le maire fait part au conseil de la décision de l’administration préfectorale de continuer d’ignorer ses délibérations précédentes refusant la fusion des trois communautés de communes dites de la grande Matheysine. Le Préfet a en effet signé un arrêté de périmètre incluant la communauté de la Matheysine, celle du Pays de Corps, celle des vallées du Valbonnais et les 10 communes non communautaires du canton de La Mure. Il précise que faute d’avoir donné son avis avant le 27 décembre 2012, celui-ci est réputé favorable.

Le conseil municipal
Vu les délibérations précédentes prises par le conseil : n° 1 du 23 juillet 2011 refusant le schéma départemental de coopération intercommunale, n° 9 en date du 24 mars 2012 maintenant sa position de refus d?une communauté à l?échelle des 3 cantons, n° 7 du 17 juin 2012 décidant de déposer un recours devant le Tribunal administratif,
Vu l’article L 5210-1-1 III – 1° du code général des collectivités territoriales qui protège les communautés de communes constituées de communes de montagne de toute fusion avec une communauté de communes pour atteindre le seuil des 5 000 habitants (qui ne leur est pas opposable),
Vu le recours déposé devant le tribunal administratif motivé par le non respect de cet article L 5210-1-1 III – 1°,
Vu l’arrêté préfectoral 2012-265-0023 du 21 septembre 2012,
Reitère à nouveau son refus de la création d’une communauté de communes à l’échelle des 3 cantons sus-nommés définis par l’arrêté préfectoral.
Décision prise à l’unanimité moins une abstention.

5 Travaux de renouvellement du réseau d’adduction d’eau potable du village : modification du programme

Le Maire indique au conseil qu’il est souhaitable de préciser le programme des travaux défini.

Après en avoir délibéré, le conseil municipal à l’unanimité
Modifie la délibération numéro 4 du 17 juin 2012 définissant le programme des travaux et précise que la ligne renouvellement des conduites antenne RD Danet Ø 50 concerne en fait la réfection de l’antenne sud du village.
Charge le maire d’effectuer toutes démarches pour obtenir le maximum d’autres concours financiers.

6 Travaux de renouvellement du réseau d’adduction d’eau potable du village : montage financier

Le Maire demande au conseil de délibérer sur le montage financier des travaux de renouvellement du réseau d’eau prévus dans le schéma directeur d’AEP.

Après en avoir délibéré, le conseil municipal à l’unanimité
Vu la délibération numéro 1 du 13 avril 2012 approuvant le schéma directeur d’AEP,
Vu la délibération numéro 4 du 17 juin 2012 définissant le programme des travaux.
Décide d’arrêter comme suit le montage financier de l’opération suivant avant projet préparé par le maître d’œuvre Alpes Etudes :

  • – montant total des travaux HT imprévus de 10 % compris 175 078,20 €
  • – honoraires de maîtrise d’œuvre 7,2 % 12 605,63 €
  • – soit un total HT de 187 683,83 €

Sollicite du département de l’Isère une subvention maximale compte tenu de la faiblesse des moyens financiers de la commune, soit au moins 26 300 € calculés en fonction du barème actuel.

Charge le maire d’effectuer toutes démarches pour obtenir le maximum d’autres concours financiers.

7 Travaux de création d’une réserve d’incendie : montage financier

Le Maire demande au conseil de délibérer sur le montage financier de la création d’une réserve de sécurité incendie au village prévue dans le schéma directeur d’AEP.

Après en avoir délibéré, le conseil municipal à l’unanimité
Vu la délibération numéro 1 du 13 avril 2012 approuvant le schéma directeur d’AEP,
Vu la délibération numéro 4 du 17 juin 2012 définissant le programme des travaux.
Décide d’arrêter comme suit le montage financier de l’opération suivant avant projet préparé par le maître d’œuvre Alpes Etudes :

  • – montant total des travaux HT imprévus4de 10 % compris 51 570,00 €
  • – honoraires de maîtrise d’œuvre 7,2 % 3 714,00 €
  • – soit un coût d’objectif total HT de 55 293 €

Sollicite de l’Etat une subvention au titre de la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) du montant maximum de 40 % compte tenu de la faiblesse des moyens financiers de la commune, soit 20 000 €.

Charge le maire d’effectuer toutes démarches pour obtenir le maximum d’autres concours financiers.

Séance 9 décembre 2016

RELEVE DE CONCLUSIONS DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 9 DECEMBRE 2016.

Le Conseil Municipal de MONESTIER D’AMBEL s’est réuni en Mairie le vendredi neuf décembre deux mille seize à vingt heures, sous la présidence de Jean-Paul BERTRAND, Maire.

Etaient présents : Jean-Paul BERTRAND-Claude SEGURA-Jean-Yves BURGUN-Marie-Hélène DANET-Mireille SARRAZIN.

Etaient absents : Georges CONTARD , qui donne pouvoir à Jean-Paul BERTRAND – Eric ROUX.

Secrétaire de séance : Jean-Yves BURGUN.
Le relevé de conclusions de la séance du 28 octobre2016 est approuvé à l’unanimité.

L’ ordre du jour de la présente séance prévoyait l’ examen des décisions modificatives 1 et 2. Or après mise au point avec la receveuse communale, Marie-Hélène DANET confirme qu’il n’est pas nécessaire d’établir ces deux documents budgétaires tant pour ce qui concerne les amortissements que pour ce qui est de la subvention reçue par la commune, dont le montant est bien de 16 216 €.

Remboursement du dépôt de garantie à M. Pierre MACE : le locataire du logement communal , lors de son entrée dans les lieux avait déposé un dépôt de garantie de 326,23 €. L’état des lieux a permis de constater que le logement est laissé en bon état. Rien ne s’oppose à ce que le dépôt de garantie soit remboursé à M. MACE .

La délibération est approuvée à l’ unanimité.

Le Conseil Municipal engage une discussion sur les suites de ce dossier . Le candidat à la location de l’ appartement s’est désisté. Ensuite de quoi, M. MACE a fait connaître par lettre qu’il souhaite revenir sur sa décision et qu’il aimerait, à nouveau, louer l’ appartement communal.

L’assemblée, unanime, accepte cette candidature.

Taxe d’affouage parcelles 36 et 39 : le Conseil Municipal, à l’unanimité, fixe les conditions d’exploitation des bois d’affouage provenant des parcelles 36 et 39 de la forêt communale, notamment le montant de la taxe d’affouage arrêté à 30 € le m3.

Indemnités à Mme la receveuse communale : à l’unanimité, le Conseil Municipal accorde à Mme la receveuse l’indemnité de conseil au taux de 50% et l’indemnité de confection des documents budgétaires pour 30,49 €.

Défense incendie des hameaux marché de maîtrise d’oeuvre : le Conseil Municipal après avis de la commission d’ appel d’offres, à l’unanimité, attribue le marché de maîtrise d’œuvre de la défense incendie des hameaux à MTM INFRA, société basée à St Ismier, pour un montant TTC de 5 880 €.

Marché groupé pour le nettoyage des réservoirs d’eau potable : le marché groupé conclu en 2013 arrive à son terme. Afin d’ assurer la continuité du service il s’avère nécessaire de mettre en place une nouvelle procédure dont le SIGREDA est la structure porteuse.

Le Conseil Municipal décide, à l’unanimité, d’adhérer au groupement de commande et désigne M. le maire et Jean-Yves BURGUN membres titulaire et suppléant de la commission administrative du groupement de commande.
Modification des statuts de la Communauté de communes : par délibération votée à l’unanimité, le Conseil Municipal approuve les statuts de la Communauté de Communes, tels que le Conseil Communautaire les a adoptés le 19 septembre 2016.

La modification porte sur des informations d’ordre général et adapte les statuts aux dispositions de la loi du n° 2015-991 du 7 août 2015, loi NOTRe.
Accès bâtiment Mairie : demande de subvention à la Région Auvergne Rhône-Alpes : la modification des accès au bâtiment Mairie ( logement et Salle des délibérations) nécessite une dépense totale de 5 500,80 € TTC. Cette réalisation se justifie notamment par la sécurisation des conditions d’ utilisation de ces accès. Une aide financière de la Région est sollicitée dans le cadre du programme « Ambition Région – bonus ruralité ».

Questions diverses :

Noël au village : les rampes lumineuses décoreront le village. Le 24 décembre matin le four banal sera allumé pour la cuisson des mets des habitants qui le souhaitent.

LigneTER Grenoble-Veynes : une motion pour son maintien est votée à l’unanimité par l’assemblée.

Eclairage public : une note préparée par Jean-Yves BURGUN est remise à chaque membre de l’assemblée. Elle présente les données essentielles concernant le passage à un éclairage public par LEDS.

La séance est levée à 21 h 45.

Séance du 6 avril 2013

Le 6 avril 2013, le conseil municipal s’est réuni à 14 heures en Mairie sous la présidence de Monsieur COURTEAU maire, à la suite de la convocation adressée le 15 mars 2013 et de l’affichage effectué le 15 mars 2013.

Présents : Mmes ALLERME, DANET et SONJON
MM BERNARD, BURGUN, CONTARD, COURTEAU, ROUX et SEGURA.
Excusé :
Nombre de membres du conseil en exercice : 9
Nombre de membres présents : 9
Nombre de membres représentés : 0
Le quorum est atteint.
Monsieur ROUX Eric a été désigné secrétaire de séance.

1 Compte rendu de l’utilisation par le maire du crédit de dépenses imprévues

Le maire rend compte au conseil, conformément à l’article L 2322-2 du code général des collectivités territoriales, de l’usage qu’il a fait du crédit de dépenses imprévues pour le fonctionnement voté dans le budget 2012 au chapitre 022.
En date du 14 janvier 2012 il a dû y prélever la somme de 61 € pour abonder l’article 701249 Reversement redevance de pollution payée à l’agence de l’eau qui avait été sous-estimée et qui interdisait le reversement « obligatoire » au Fonds de Péréquation Intercommunal et Communal de la taxe professionnelle (FPIC).
Le conseil donne acte au maire de cette information.

2 Rapport annuel sur le fonctionnement des services publics et les chantiers terminés en 2012

 Eau et assainissement
En 2012 : 18 624,62 € de charges nettes après atténuation des amortissements par les subventions d’équipement soit une hausse de 28 % par rapport à 2011 (14 528,97 €). Cette augmentation est due essentiellement au coût de l’enquête publique sur le zonage d’assainissement non collectif. 2 réparations ont du être effectuées cette année.
La redevance forfaitaire a rapporté 3 502,80 € dont 1 072,80 € sont destinés à l’Agence de bassin.
Cela représente un déficit de 15 121,82 € contre 11 514,45 € l’an dernier qui sont couverts par les impôts communaux et les ressources propres de la commune.
Le prix de revient du m3 d’eau distribué aux foyers et aux bassins se situe donc à 0,72 € contre 0,41 € l’an dernier. A titre de comparaison, le prix de revient de l’eau au m3 en Isère est de 1,20 € en 2012 et en France de 1,55 € en 2009. soit un coût moyen de 689,80 €/foyer contre 291,12 € l’an dernier.
Les volumes distribués : 25 888 m3 (contre 31 317 l’année précédente) dont 11 973 m3 estimés pour les bassins et points d’eau publics et mises hors gel contre 13 315 m3 l’an dernier. Cela représente une consommation moyenne par abonné de 515 m3 contre 899 m3 en 2011.
La facturation forfaitaire ne représente que 0,25 € / m3 réellement consommé contre 0,12 € l’an dernier, la consommation des ménages ayant diminué de 26,5 %. Le tarif d’équilibre par abonné s’élève à 689,80 €, alors qu’il n’est facturé que 129,73€ en moyenne.

Les investissements de 2012 correspondent au solde de l’étude des schémas directeurs (12 009,63 €) et au 1er acompte de la maîtrise d’ouvrage de rénovation du réseau d’eau (3 571,71 € pour la phase avant-projet).

Pour la première fois, grâce à la pose des compteurs d’adduction, nous pouvons rapprocher les volumes issus des captages (83 233 m3) de ceux qui sont mis en distribution (25 888 m3). A aucun moment l’apport des captages n’a été inférieur à la consommation.

La qualité de l’eau, surveillée 3 fois par an, est toujours globalement satisfaisante. En 2012, sur 9 analyses réalisées, une seule, au village, a révélé une contamination ponctuelle aux streptocoques qui a été traitée par une javellisation du réservoir. La mise en conformité des captages commence à porter ses fruits.

 Voirie
La maintenance des abords des voies communales (ainsi que du cimetière) en Juin et mi Août (fauchage et désherbage) réalisée par l’entreprise de monsieur Bernard ROUSSET aux Côtes de Corps a coûté 2 389,01 € contre 1 973,40 € l’année précédente (au cours de laquelle les passages ont été limités).
Le déneigement des voies communales confié à Jean-Yves BURGUN avec la lame et les chaînes achetées par la commune a coûté 333,84 € contre 160,36 € lors de l’hiver 2010-2011.

 Transport du jeudi à Corps
De septembre 2010 à août 2012 (2 années), 8 trajets soit 4 aller-retour ont été facturés par l’entreprise MNJ voyages pour un montant total de 16,80 €, soit 2,80 € par trajet.
Au titre de 2009-2010, ces chiffres s’élevaient respectivement à 8 trajets soit une moyenne de 4 personnes pour un montant de 16,80 € soit 2,10 € par trajet.

 Exploitation forestière
La coupe de chablis exploitée en régie par l’ONF sur les parcelles 42 et 43, a permis de vendre 345 m3 de bois dont 98 de sapin qualité charpente et 217 de sapin qualité palette. Après affectation des coûts d’exploitation, le revenu net pour la commune s’élève à 4 529 € soit environ 13 € du m3. Il faut préciser que cette coupe a aussi permis de distribuer 30 m3 de bois à 13 affouagistes.

 Travaux de réhabilitation des routes forestières
Ce chantier induit par la tempête de l’automne 2011 et confié après mise en concurrence à l’entreprise PELISSARD par la délibération n° 6 du 24 mars 2012 pour un montant total HT de 33 326,97 € abondé d’un avenant de 2 536,40 € HT voté par le conseil le 22 avril 2012 n’a finalement coûté que 42 326,60 € TTC, soit 35 390,13 € HT. Le département ayant accordé une subvention de 9 570 € qui a été encaissée début 2013, cela n’aura coûté réellement à la commune que 32 756,60 € dont 4 800 € seront couverts par le FCTVA en 2013.

 Service public d’assainissement non collectif
Cette compétence transférée à la communauté de communes du Pays de Corps et déléguée au SIGREDA (Syndicat intercommunal de la Gresse et du Drac aval) a été mise en œuvre pour la première fois cette année.
9 abonnés, c’est à dire non raccordé à un réseau communal, étaient sur la liste. Un seul était absent et 8 ont été contrôlés.
Tous les abonnés contrôlés ont des dispositifs non conformes (en général absence de bacs à graisse et de filière d’épandage à l’aval), mais ne présentent pas de dysfonctionnements majeurs. Les risques pour l’environnement et la salubrité publique sont donc limités. Aussi aucune préconisation immédiate (hormis la vidange de la fosse dans certains cas) n’a été imposée. Seule l’installation VEYSSIERE a fait l’objet de préconisations obligatoires à réaliser dans l’année qui suit l’acquisition.

Le conseil municipal donne acte au maire de ce rapport.

3 Compte de gestion 2012

Le Maire expose au conseil qu’il y a lieu de délibérer sur le compte de gestion de la commune pour l’année 2012 Celui-ci est dressé par le comptable public à CORPS messieurs Gérald ROUSSEL, Bernard RAVEL, Michel GUIGUET et madame Janine MORDEGAN, il peut être résumé par les éléments suivants (Etat II-1 et 2) :

  • FONCTIONNEMENT
  • Dépenses budgétaires 70 192,18
  • Recettes budgétaires 80 139,56
  • Résultat de l’exercice 9 947,38
  • Résultat reporté 224 596,11
  • Part affectée à l’investissement -14 364,80
  • Résultat cumulé 220 178,69
  • INVESTISSEMENT
  • Dépenses budgétaires 72 224,43
  • Recettes budgétaires 67 889,54
  • Résultat de l’exercice -4 334,89
  • Résultat reporté -8 298,80
  • Résultat cumulé -12 633,69
  • CUMULS
  • Résultat de l’exercice 5 612,49
  • Résultat cumulé 207 545,00 = Résultat global de clôture

Le conseil
– après avoir vérifié que le comptable avait bien repris dans ses écritures l’ensemble des mandats et titres émis par le Maire,
– après avoir vérifié l’état de l’actif et du passif et vérifié que le montant des soldes des comptes au bilan de fin 2011 avait été repris intégralement dans les écritures de 2012,
– déclare que le présent compte de gestion pour 2012, certifié conforme par le Maire à sa propre comptabilité des mouvements de l’année 2012, n’appelle de sa part aucune réserve,
– adopte donc à l’unanimité le compte de gestion de 2012.

4 Compte administratif 2012

Sous la présidence de madame DANET, le conseil s’est fait présenter le compte administratif de l’exercice 2012 intégralement exécuté par les soins de monsieur COURTEAU, Maire.
Le conseil municipal
– après avoir approuvé le compte de gestion de 2012
– après s’être fait présenter l’ensemble des documents comptables (bordereaux de mandats et de titres, grand livre des dépenses et des recettes, pièces justificatives des dépenses et des recettes)
– après avoir comparé les dépenses et recettes réalisées par rapport au budget primitif et aux décisions modificatives et entendu les explications du Maire sur les différences constatées entre prévisions et réalisations,
– après avoir constaté la concordance des résultats dégagés par le compte administratif du Maire et ceux dégagés par le compte de gestion du receveur municipal,
donne acte au Maire de l’exécution du budget de 2012 retracée à travers le compte administratif qui se résume ainsi :

  • FONCTIONNEMENT
  • Charges 70 192,18
  • Produits 80 139,56
  • Résultat de l’exercice 9 947,38
  • Résultat reporté 210 231,31
  • Résultat cumulé 220 178,69
  • INVESTISSEMENT
  • Dépenses 72 224,43
  • Recettes 67 889,54
  • Résultat de l’exercice – 4 334, 89
  • Résultat reporté – 8 298,80
  • Résultat cumulé – 12 633,69
  • Restes à réaliser dépenses 3 965,00
  • Restes à réaliser recettes 9 570,00
  • Résultat des restes à réaliser 5 605,00

     * CUMULS DES DEUX SECTIONS
  • Résultat de l’exercie 5 612,49
  • Résultat reporté 201 932,51
  • Résultat cumulé 207 545,00
  • Résultat cumulé compte tenu des restes à réaliser 213 150,00

Constate, l’identité des valeurs du compte administratif avec celles du compte de gestion,
Reconnaît la sincérité des restes à réaliser,
Vote et arrête à l’unanimité, le Maire ayant quitté la séance, les résultats définitifs de 2012 tels que présentés ci-dessus.

5 Affectation du résultat de la section de fonctionnement

Le maire demande au conseil municipal de procéder à l’affectation du résultat cumulé de fonctionnement en vue de couvrir le besoin de financement des investissements
Après en avoir débattu, le conseil, à l’unanimité, décide d’affecter le résultat comme suit :

  • FONCTIONNEMENT
  • Résultat de l’exercice 9 947,38
  • Résultat reporté 210 231,31
  • Résultat cumulé de fonctionnement 220 178,69
  • INVESTISSEMENT
  • Résultat de l’exercice – 4 334, 89
  • Résultat reporté – 8 298,80
  • Résultat cumulé d’investissement – 12 633,69
  • Résultat des restes à réaliser 5 605,00

     * BESOIN DE FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS
  • à prélever sur le résultat de fonctionnement restant en instance après affectation 7 028,69
  • Résultat cumulé de fonctionnement restant en instance après affectation à reporter au budget de fonctionnement 213 150,00

Décision prise à l’unanimité.

6 Travaux d’eau et leurs financements

Le Maire présente au conseil les démarches effectuées pour obtenir des subventions pour les travaux du réseau d’eau dont le coût d’objectif voté l’année dernière s’élève à 242 942 € HT.
A ce jour, aucune subvention n’est acquise :

 La dotation d’équipement des territoires ruraux demandée au Préfet serait, si elle est accordée cette année, de 11 059 € pour une dépense subventionnable de 55 293 € HT (réserve d’incendie).

 La subvention au titre de la réserve parlementaire pourrait s’élever à 10 000 € pour une dépense subventionnable HT de 238 678 € HT (ensemble des travaux).

 S’agissant du département auquel nous avions demandé 28 153 € pour une dépense subventionnable HT de 187 649 € HT (réseau seul), nous ne pouvons rien obtenir car entre temps le conseil général a modifié ses critères de subventions. Il faut désormais faire payer l’eau au moins à hauteur de la moyenne départementale soit 1,20 € HT le m3. Nous en sommes à 0,75 € HT. Des contacts auprès du vice-président chargé de ce secteur, il ressort que le conseil général pourrait accepter notre dossier sur la base d’une première augmentation significative de l’eau et d’un engagement à porter ensuite ce prix à 1,20 € HT. Il faut aussi préciser que le nombre de dossier est tel qu’il ne sera de toute façon pas possible d’obtenir cette subvention cette année.
Le maire rappelle au conseil le contexte des finances publiques (budget de l’Etat et du département notamment) extrêmement tendu puisque les dotations de l’Etat aux collectivités locales n’augmentent pas cette année et diminueront en 2014 et 2015, rendant encore plus aléatoire ces diverses subventions.
Quelles solutions ?

 Abandonner les travaux ?

 Ne faire que les travaux de réserve d’incendie, si nous obtenons le DETR ?

 Faire les travaux du réseau par morceaux ?

 Faire tous les travaux sans la subvention du conseil général ?

 Faire tous les travaux en anticipant la subvention du conseil général et en augmentant le tarif de l’eau tout en s’engageant à le porter à hauteur de 1,20 € / m3 ?
Le maire précise que le projet de budget soumis au conseil pour 2013 intègre cette dernière proposition, en incluant un emprunt pour assurer l’équilibre budgétaire et une augmentation du tarif de l’eau à hauteur de 120 € HT sur la base d’une consommation de 120 m3 soit 0,95 € / m3 au lieu de 0,75 aujourd’hui (pour l’usager qui payait à l’agence de l’eau la redevance de modernisation des réseaux d’assainissement, cela correspond à une hausse de 9,19 €).
Le conseil municipal
Après en avoir délibéré
Adopte la dernière solution proposée par le maire (réaliser tous les travaux après accord préalable du département),
Décide d’augmenter le tarif de l’eau pour l’exercice 2013 à hauteur de 120 € HT, soit 1,00 € / m3 pour une consommation forfaitaire de 120 m3, au lieu de 0,75 aujourd’hui,
S’engage en outre à porter ce prix dans le délai de 2 ans qui suivra l’octroi de la subvention demandée à 1,20 € / m3,
Demande en conséquence au conseil général de reprendre l’étude du dossier de demande de subvention.
Décision prise par deux abstention, un contre et six pour.

7 Budget primitif 2013 et taux des 4 taxes directes pour 2013

Le Maire présente au conseil article après article, ses propositions de prévisions pour l’année.
Il signale au conseil que le présent budget doit tenir compte d’un contexte économique et budgétaire particulièrement difficile : gel des dotations de l’Etat qui sera suivi pendant 2 ans d’une diminution, baisse du fonds départemental de taxe professionnelle, refus de vendre la cure … De ce fait, sa proposition inclût le relèvement du taux des 4 taxes de 2 % et l’augmentation du prix de l’eau, ainsi qu’un emprunt. Malgré cela, toutes les réserves accumulées au fil du temps seront épuisées ne laissant à la commune ensuite aucune marge de manœuvre.
Après en avoir délibéré, le conseil
– adopté à l’unanimité, chapitre par chapitre, le budget primitif de 2013 dont les grandes masses sont récapitulées ci-dessous :

  • FONCTIONNEMENT
  • Excédent reporté 213 150
  • Charges 291 239
  • Produits 77 993
  • TOTAUX DEPENSES 291 239
  • TOTAUX RECETTES 291 239
  • Résultat 0
  • INVESTISSEMENT
  • Déficit reporté 12 634
  • Dépenses 318 628
  • Recettes 331 262
  • TOTAUX DEPENSES 331 262
  • TOTAUX RECETTES 331 262
  • Résultat 0

 fixe par 8 voix pour et 1 contre le taux des 4 taxes directes comme suit :
TH : 7,47 % FB : 2,76 % FnB : 30,31 % CFE : 17,41 %.

8 Admission en non valeur

Le maire porte à la connaissance la demande de Laurent ROUX de remise de 180 € dûs au titre de son occupation du garage communal ; 2 emplacements plus une épave pendant 6 mois lui ont été facturés, il n’a payé que 120 € sur les 300 demandés et demande que lui soit annulé le reste.
Le conseil
Après avoir entendu l’exposé du maire
Considérant que Laurent ROUX a occupé 2 emplacements du garage communal pendant un an et un emplacement pendant 6 mois et que la somme de 300 € correspond bien à la délibération n° 7 prise le 11/11/2007,
Considérant la situation financière difficile que connaît celui-ci,
Décide de lui effectuer une remise exceptionnelle de 180 €
Conditionne celle-ci à l’enlèvement de l’épave que Laurent ROUX a remisé au garage sans demander l’accord de personne et de ses autres dépôts qui encombrent le garage.
Charge le maire d’effectuer les démarches nécessaires en ce sens.
Décision prise à l’unanimité.

9 Approbation de l’aménagement de la forêt communale

Le maire demande au conseil de se prononcer sur le projet de révision de l’aménagement de la forêt communale établi par l’Office National des Forêts pour la période 2013 – 2032 en vertu des dispositions des articles L212-1 et L212-2 du code forestier.
Il présente ce projet qui comprend :
• l’analyse de l’état de la forêt,
• les objectifs à assigner à la forêt qui ont été fixés en concertation avec la commune : 525 m3 de coupes annuelles classiques en moyenne et éventuellement 1 150 m3 en sus de coupe à câble,
• un programme d’actions où sont définis les années de passage en coupe, les règles de gestion, ainsi qu’à titre indicatif les travaux susceptibles d’être réalisés et le bilan financier prévisionnel : 2 000 € par an environ d’entretien du parcellaire et des limites, 600 € environ par an pour l’entretien des sentiers de gestion et ainsi que la délimitation de la partie basse des parcelles 17, 18,19 et 24,
dans le cadre de Natura 2000 11,77 ha sont affectés en parcelle 10 à des ilôts de vieillissement sans coupe et des travaux en parcelles 23 et 48 pour protéger les sabots de Vénus seront possibles si le financement de ceux-ci est acté par Natura 2000. De plus les aménagements forestiers de forêts situées en site Natura 2000 font partie des projets soumis à évaluation des incidences selon l’article R414-19 du code de l’environnement. Cependant, ils bénéficient d’une procédure particulière qui permet de les dispenser formellement de cette évaluation, au titre des dispositions du 2° de l’article L122-7 du code forestier. Pour les nouveaux aménagements, l’ONF demande à bénéficier de ces dispositions après accord des communes relevant du régime forestier.
La surface cadastrale relevant du régime forestier objet de l’aménagement est arrêtée à 656 ha 18 conformément à la liste des parcelles annexée au document d’aménagement et inchangée par rapport au précédent aménagement 1998-2012.
Le Conseil Municipal, après, en avoir délibéré,
approuve la révision de l’aménagement de la forêt communale et le programme d’actions qui lui est associé
donne mandat à l’Office National des Forêts de demander, en son nom, l’application des dispositions du 2° de l’article L122-7 du Code forestier pour cet aménagement, au titre de la législation propre à Natura 2000.
Décision prise à l’unanimité.

10 Coupes de bois en 2013

Le maire fait part au conseil de la proposition de l’ONF de marteler les parcelles forestières 24 et 25 en aval et en amont de l route forestière du Barrachon sous les Aiguillettes.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré,
Considérant le faible rendement d’une telle coupe,
Décide de ne pas donner suite à cette proposition.
Décision prise à l’unanimité.

11 Numérisation de la carte communale

Le maire fait part au conseil de l’engagement de l’Etat et du Département dans un projet de numérisation de tous les documents d’urbanisme de toutes les communes du département. Ce projet nécessite la signature d’une convention dans laquelle la commune s’engage à transmettre à l’Etat toutes les modifications ultérieures qui pourraient survenir à ses documents d’urbanisme. La mise à disposition de ces données numériques est faite à titre gracieux.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré,
Donne son accord à ce projet de numérisation de la carte communale
Donne pourvoir au Maire pour signer la convention correspondante.
Décision prise à l’unanimité.

12 Renouvellement de la convention ATESAT

Le Maire rappelle aux membres du conseil municipal que la précédente convention ATESAT était valable un an et reconductible deux fois ; elle est donc arrivée à échéance au 31 décembre 2012. Les missions d’assistance proposées par cette convention sont nécessaires au bon fonctionnement de la commune, notamment en matière d’aménagement durable du territoire, et permettent de bénéficier de conseils diversifiés dans de nombreux autres domaines. Le Maire précise que la commune a été déclarée éligible à cette assistance, par arrêté préfectoral n° 2013007-0020 du 7 janvier 2013 (publié au recueil des actes administratifs du département de l’Isère le 4 mars 2013), et qu’il a sollicité par courrier les services de l’Etat pour qu’une nouvelle convention soit formalisée entre l’Etat et la commune au titre de l’année 2013.
Le conseil municipal, après avoir entendu les explications du maire, à l’unanimité :
Vu l’arrêté préfectoral n° 2013-007-0020 du 7 janvier 2013 déclarant éligible la commune à l’ATESAT,
Considérant les besoins de la commune, il propose de retenir la mission de base pour un montant annuel, non assujetti à la T.V.A., de : 8,55 €,
Accepte que ce montant forfaitaire soit revalorisé annuellement en considération de l’évolution de l’index d’ingénierie, dans les conditions définies à l’article 6 de l’arrêté du 27 décembre 2002 et en fonction de l’évolution de la population de la commune.
Autorise le Maire à signer la convention A.T.E.S.A.T. et son annexe.

13 Vœu concernant l’ATESAT

Le maire fait part au Conseil Municipal des menaces qui pèsent sur le devenir de l’exercice des missions ATESAT et ADS par les services de l’État (la DDT). Il rappelle la teneur de ces missions : aide et suivi en matière de travaux communaux, instruction des actes d’urbanisme (notamment les permis de construire),.
Le maire rappelle encore que la commune :
– apprécie la qualité des prestations offertes par les services de l’État pour des raisons de neutralité, impartialité, sécurité juridique, intégrité, proximité, rapport qualité/prix, compétence, professionnalisme …,
– ne dispose pas, en propre, des moyens humains, techniques et financiers qui lui permettraient de suppléer au retrait de l’État de ces champs d’activité, Pour ces raisons, le maire demande au conseil municipal
– d’exprimer son attachement à la poursuite de ces missions par les services de l’État,
– de soutenir la démarche de sauvegarde des missions remplies par les services de proximité de l’État, qui permettent à la commune, dans les meilleures conditions, de jouer pleinement son rôle auprès de ses administrés et, au-delà, concourent à l’égalité des citoyens sur le territoire.
Après en avoir délibéré, le Conseil municipal exprime, à l’unanimité, son total accord.

14 Plan de financement des travaux de réserve d’incendie au village (modificatif)

Le Maire informe le conseil de l’obtention des subventions pour la création de la réserve de sécurité incendie au village prévue dans le schéma directeur d’AEP pour 11 059 € au titre de la DETR et 10 000 € obtenue par madame BATTISTEL au titre de la réserve parlementaire. Il précise que, pour la finalisation de cette dernière, il faut une délibération spécifique.
Arrête le coût d’objectif de cette création à 50 000 € HT.

Vu la délibération numéro 1 du 13 avril 2012 approuvant le schéma directeur d’AEP,
Vu la délibération numéro 4 du 17 juin 2012 définissant le programme des travaux.
Vu la délibération numéro 7 du 27 octobre 2012 arrêtant le montage financier des travaux.
Vu la délibération du 8 décembre 2012 modifiant le montant de la subvention DETR
Après en avoir délibéré,
le conseil municipal à l’unanimité moins une abstention,
Confirme sa volonté de créer dès 2013 une réserve d’incendie de 70 m3 enterrée sous la place de la Mairie (projet 10b du schéma directeur)
D’annuler les délibérations du 27 octobre (n° 7) et du 8 décembre 2012
Décide d’arrêter désormais comme suit le montage financier de l’opération suivant l’avant projet préparé par le maître d’œuvre Alpes Etudes :
– montant total des travaux HT imprévus de 10 % compris 51 579,00 €
– honoraires de maîtrise d’œuvre 7,2 % 3 714,00 €
– soit un coût d’objectif total HT de 55 293 €
Arrête comme suit le plan de financement de cette opération

 DETR 2013 11 059 €

 Réserve parlementaire 10 000 €

 Fonds propres de la commune 34 234 € + TVA
Sollicite du ministère de l’Intérieur une subvention exceptionnelle au titre de la réserve parlementaire d’un montant de 10 000 €.
Charge le maire d’effectuer toutes démarches pour obtenir ces financements.

15 Saisine du tribunal administratif

Le Maire informe le conseil de l’arrêté préfectoral du 3 avril 2013 prononçant la fusion des 44 communes des 3 cantons en une seule communauté et de la suppression des 3 communautés préexistantes. Il précise qu’en date du 21 octobre 2012 le conseil lui avait donné délégation pour décider à sa place d’ester en justice. L’opportunité des dates aidant le maire demande au conseil de bien vouloir délibérer sur cette question.

Vu l’article L 2122-22 du CGCT paragraphe 16
Vu l’arrêté du préfet de l’Isère n° 2013093-0002 du 3 avril 2013 portant création par fusion-extension d’une communauté de communes regroupant les 44 communes du territoire.
Vu l’article L 5210-1-1 du CGCT qui stipule en son paragraphe III-1 : « La constitution d’établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre regroupant au moins 5 000 habitants ; toutefois, ce seuil de population n’est pas applicable aux établissements publics dont le territoire comprend des zones de montagne délimitées conformément à l’article 3 de la loi n° 85-30 du 9 janvier 1985 relative au développement et à la protection de la montagne ; par ailleurs, ce seuil peut être abaissé par le représentant de l’Etat dans le département pour tenir compte des caractéristiques géographiques particulières de certains espaces ; »
Vu les recours gracieux déposés par plusieurs maires auprès du Préfet lors de l’hiver 2012 et implicitement rejetés,
Vu le rejet par le tribunal administratif de GRENOBLE du recours contre le SDCI (jugement n° 1203812-1 en date du 19 octobre 2012)
Considérant l’interjection d’un appel de ce jugement auprès de la cour administrative d’appel de LYON enregistré en date du 18 octobre 2012 sous le n° 12LY03089.

Décide de saisir le tribunal administratif de GRENOBLE en vue de annulation de l’arrêté ci-dessus référencé au motif de l’illégalité de celui-ci au regard du CGCT et de tout autre moyen de droit ou de fait.

2°) Vu l’article L 521-1 du code des juridictions administratives organisant le référé-suspension,
Considérant que la mise en œuvre au 1er janvier 2014 de l’arrêté préfectoral susvisé apporterait une modification irréversible de l’organisation du territoire car il ne serait plus possible de revenir en arrière alors même que les conséquences de cette fusion-extension sont particulièrement préjudiciables au fonctionnement de nos communes et aux citoyens-contribuables, sans compter les conséquences induites sur le fonctionnement des services publics (trésor public notamment),
Considérant que le moyen de saisine crée un doute sérieux sur la légalité de la décision préfectorale,

Décide de demander au tribunal administratif de prononcer dans le plus bref délai le référé-suspension à l’encontre de l’arrêté préfectoral susvisé.

3°) Confie à maître Etienne TETE avocat au barreau de LYON le soin de défendre les intérêts de la commune pour ces deux requêtes devant les juridictions administratives.

Décisions prises à l’unanimité.

Fait et délibéré à Monestier d’Ambel le 6 avril 2013.

Ont signé les membres présents :

Séance du 31 août 2013

Le 31 août 2013, le conseil municipal s’est réuni à 14 heures en Mairie sous la présidence de Monsieur COURTEAU maire, à la suite de la convocation adressée le 2 août 2013 et de l’affichage effectué le même jour.

Présents : Mmes ALLERME et SONJON
MM BERNARD, BURGUN, CONTARD, COURTEAU, ROUX et SEGURA.
Nombre de membres du conseil en exercice : 9
Nombre de membres présents : 9
Nombre de membres représentés : 1
Excusée : Mme DANET qui a donné pouvoir à M COURTEAU
Le quorum est atteint.
Monsieur SEGURA a été désigné secrétaire de séance.

1. Dévolution du marché de travaux de renouvellement du réseau d’eau au village et de création d’une réserve d’incendie

Le maire informe le conseil de l’octroi d’une subvention de l’Agence de l’Eau pour la rénovation du réseau à hauteur de 56 304€ pour une dépense subventionnable HT de 187 683 €.
Il indique que le 29 août, il a été procédé avec les adjoints à l’ouverture des plis en présence du maître d’œuvre Alp Etudes.
L’avis d’appel public à concurrence a été publié dans le journal d’annonces légales des Affiches de Grenoble et du Dauphiné ainsi que sur le site internet habilité de cette même publication le 26 Juillet 2013. En outre, 4 entreprises des Hautes Alpes ont été avisées par écrit de la présence sur ce site des éléments nécessaires pour pouvoir déposer une offre.
Alors que 12 entreprises ont accédé au site et ont pu retirer le document de consultation des entreprises, seules 2 d’entre elles avaient déposé une offre le 29 août 2013 à 11 heures, lors de la clôture de la consultation.
Le maire fait état de l’analyse des offres effectuées par le maître d’œuvre. Compte tenu de la pondération des critères (40 % le prix et 60 % la valeur technique), chaque entreprise a reçu les notes suivantes :

 PELISSARD = 18/20 et 20/20 ; note pondérée 18,80

 ALLOUARD = 16,5/20 et 18,67/20 : note pondérée 17,37.
Le rapport conclut donc que l’offre économiquement la plus avantageuse (mieux disante) est celle de l’entreprise PELISSARD et en déduit le rejet de l’entreprise ALLOUARD.

Après avoir entendu le rapport de la commission d’ouverture des plis et en avoir débattu,
Le conseil municipal
Vu le code des marchés publics
Vu le rapport d’analyse des offres effectué par ALP’Etudes en date du 29 août 2013
Décide de porter son choix sur l’entreprise PELISSARD pour un montant HT de 256 428 €
Donne tous pouvoirs au maire pour signer le marché correspondant ainsi que tous avenants dans la limite de 5 %.
Décision prise par 6 voix pour, 1 contre et 2 abstentions.

2. Augmentation du prix de l’eau en 2014 et financement des travaux du réseau d’eau

Le maire rappelle au conseil que le département a modifié ses critères de subvention des réseaux d’eau dans le même temps où la commune déposait son dossier de demande de subvention. Depuis le conseil général a légèrement assoupli ses critères pour donner un délai aux communes en vue de se mettre en règle avec les critères ouvrant droit aux subventions en matière de travaux d’eau : d’une part les opérations des communes concernées pourront être subventionnées à condition que le conseil municipal s’engage par délibération à monter son tarif jusqu’à 1,20 € / m3 dans un délai de 3 ans, d’autre part le versement de la subvention ne pourra être effectué qu’à partir du moment où le tarif minimal sera appliqué.
Il rappelle au conseil sa délibération n° 6 du 6 avril 2013 qui fixait le tarif à hauteur de 120 € HT, soit 1,00 € / m3 pour une consommation forfaitaire de 120 m3 et son engagement à porter ce tarif à 1,20 €/m3 dans le délai de 2 ans après octroi de la subvention par le département.
Après avoir entendu les explications du maire et en avoir débattu
Le conseil municipal
Décide de porter le tarif de l’eau en 2014 à hauteur de 144 € HT, soit 1,20 € / m3 pour une consommation forfaitaire de 120 m3
Reitère au département sa demande d’autorisation de démarrage des travaux par anticipation sur la décision de subventionnement.
Charge le maire de mettre en œuvre cette décision.
Décision prise par 5 voix pour et 4 abstention, dont celle de madame DANET qui souhaitait différer à 2015 la hausse du prix de l’eau.

3. Souscription d’une ligne de trésorerie pour faire face aux travaux d’eau (délégation au Maire)

Le maire indique au conseil que les subventions ne sont versées aux communes que sur la base de justificatifs du payement. La commune doit donc préfinancer la part subventionnée, ce qui peut induire des difficultés de trésorerie. Pour combler temporairement ces difficultés de trésorerie, les établissements bancaires proposent aux communes des lignes de trésorerie consistant en une ouverture de crédit maximale que le maire est habilité à utiliser au fûr et à mesure des besoins de trésorerie. Ces lignes de crédit ne sont pas des instruments budgétaires, seuls les intérêts doivent être budgétisés.
Il propose donc au conseil d’utiliser cette possibilité.
Après avoir entendu les explications du maire et en avoir débattu
Le conseil municipal
Décide de souscrire une ligne de trésorerie jusqu’à concurrence du montant des subventions mobilisables pour le financement des travaux du réseau d’eau et de réserve d’incendie, soit 100 000 € maximum
Délègue au maire en vertu de l’article L 2122-22 3° du CGCT, le soin de choisir l’établissement bancaire et de signer le contrat correspondant, à charge pour lui d’en rendre compte au conseil qui suit.
Décision prise à l’unanimité moins une abstention).

4. Décision budgétaire modificative

Le maire présente au conseil municipal les modifications budgétaires tenant compte des différentes évolutions constatées depuis le vote du budget primitif.

  • FONCTIONNEMENT
  • Article 6611 2 500 Intérêts de la ligne de crédit
  • Article 6811 4 716 Amortissements du schéma directeur oublié
  • 023 Virement à l’investissement – 4 340 Pour assurer l’équilibre
  • * Total des dépenses 2 876
  • 74121 DGF solidarité rurale 79 Ajustement
  • 742 Dotation élu local 2 797 Commune nouvellement éligible
  • Total recettes 2 876
  • -Résultat de fonctionnement nul
  • INVESTISSEMENT
  • 041 Mouvements patrimoniaux 1 415 Régularisation d’affectation
  • 2315 Travaux sur réseaux 26 680 Dépassement du coût d’objectif des travaux d’eau
  • 020 Dépenses imprévues – 12 000 Il reste 9 835 €
  • * Total des dépenses 18 095
  • 021 Virement du fonctionnement -4 340
  • 040 Amortissements 4 716 Amortissements oubliés
  • 041 Mouvements patrimoniaux 1 415 Régularisation d’affectation
  • 1318 Subventions d’équip. autres 56 304 Agence de l‘eau
  • 16 Emprunts – 40 000 Recours à l’emprunt devenu inutile
  • Total des recettes 18 095
  • -Résultat d’investissement nul

Le conseil
– après avoir écouté l’exposé du Maire,
– adopte, à l’unanimité moins une abstention, la présente décision budgétaire modificative telle que présentée.

5. Informations complémentaires au rapport sur le prix et la qualité de l’eau présenté au conseil du 6 avril 2013

Lors de la séance du 6 avril 2013, au moment de la présentation du rapport sur l’activité du service d’eau de l’année 2012, des incohérences avaient été relevées entre les chiffres du rapport et ceux indiqués dans l’étude de diagnostic menée par A T Eau.

Les recherches ont permis de relever diverses erreurs de calcul par la mairie dans les tableaux statistiques de suivi des consommations. Celles-ci ont conduit à majorer artificiellement les consommations domestiques de l’année 2010. Le rapprochement des données communales ainsi rectifiées avec les données utilisées par AT Eau dans le Schéma directeur ne présente plus d’écarts très significatifs. Les écarts résiduels peuvent être imputées au décalage de date entre les mesures de la commune et celles d’AT Eau. Voici les éléments remis à jour :

  • LE VILLAGE
  • Compteur général / Bassin / Ménages / Nb abonnés / soit L/jour par abonné
  • 2006 15 259 m3 8 115 m3 7 144 m3 17 420 m3 1 151 l/j/ab
  • 2007 18 602 m3 7 431 m3 11 171 m3 17 657 m3 1 800 l/j/ab
  • 2008 33 601 m3 9 822 m3 23 779 m3 17 1 399 m3 3 832 l/j/ab
  • 2009 25 864 m3 6 396 m3 19 468 m3 17 1 145 m3 3 137 l/j/ab
  • 2010 14 968 m3 7 827 m3 7 141 m3 18 397 m3 1 087 l/j/ab
  • 2011 29 996 m3 6 879 m3 23 117 m3 18 1 284 m3 3 519 l/j/ab
  • 2012 23 946 m3 11 973 m3 11 973 m3 18 665 m3 1 822 l/j/ab
  • TARDIVIERES
  • Compteur général / Bassin / Ménages / Nb abonnés / soit L/jour par abonné
  • 2006 5 831 m3 2 705 m3 3 126 m3 7 447 m3 1 223 l/j/ab
  • 2007 6 593 m3 2 477 m3 4 116 m3 7 588 m3 1 611 l/j/ab
  • 2008 6 147 m3 3 274 m3 2 873 m3 7 410 m3 1 124 l/j/ab
  • 2009 5 777 m3 2 132 m3 3 645 m3 8 456 m3 1 248 l/j/ab
  • 2010 4 182 m3 1 373 m3 2 809 m3 8 351 m3 962 l/j/ab
  • 2011 4 045 m3 2 293 m3 1 752 m3 9 195 m3 533 l/j/ab
  • 2012 2 293 m3 1 261 m3 1 032 m3 9 115 m3 314 l/j/ab
  • LE MAS Robinet public Nb abonnés
  • Compteur général / Bassin / Ménages / Nb abonnés / soit L/jour par abonné
  • 2006 1 836 m3 1 377 m3 459 m3 1 459 m3 1 258 l/j/ab
  • 2007 1 550 m3 1 163 m3 388 m3 1 388 m3 1 062 l/j/ab
  • 2008 1 918 m3 1 439 m3 480 m3 1 480 m3 1 314 l/j/ab
  • 2009 1 577 m3 1 183 m3 394 m3 1 394 m3 1 080 l/j/ab
  • 2010 1 275 m3 956 m3 319 m3 1 319 m3 874 l/j/ab
  • 2011 1 195 m3 896 m3 299 m3 1 299 m3 818 l/j/ab
  • 2012 331 m3 2 m3 329 m3 1 329 m3 901 l/j/ab
  • RECAPITULATION
  • Compteur général / Bassin / Ménages / Nb abonnés / soit L/jour par abonné
  • 2006 22 926 m3 12 197 m3 10 729 m3 25 429 m3 1 176 l/j/ab
  • 2007 26 745 m3 11 071 m3 15 675 m3 25 627 m3 1 718 l/j/ab
  • 2008 41 666 m3 14 535 m3 27 132 m3 25 1 085 m3 2 973 l/j/ab
  • 2009 33 218 m3 9 711 m3 23 507 m3 26 904 m3 2 477 l/j/ab
  • 2010 20 425 m3 10 156 m3 10 269 m3 27 380 m3 1 042 l/j/ab
  • 2011 35 236 m3 10 068 m3 25 168 m3 28 899 m3 2 463 l/j/ab
  • 2012 25 888 m3 11 973 m3 13 915 m3 29 480 m3 1 315 l/j/ab

Consommation moyenne en France : 150 l/jour/hab x 2,3 habitants par abonné ? 126 m3

Principaux évènements sur la période :
2008 : changement de 4 vannes au village, rénovation du réservoir
2009 : fuite sur RD devant la mairie
2010, 2011 et 2012 sont des années de sécheresse avérées (Arrêtés préfectoraux)
2011 : fuite canalisation PERRIER.
2012 : compteur du réservoir de Tardivières bloqué (a été changé).

Le maire fait part au conseil des interrogations de madame DANET absente aujourd’hui concernant l’importante consommation des bassins qui est plus importante certaines années que celle des ménages. N’y aurait-t-il pas quelques économies sinon financières au moins écologiques à réduire le débit de ces bassins la journée et à l’arrêter la nuit par exemple ? Il est répondu que la consommation des bassins inclut l’arrosage de certains jardins et qu’il est, sinon impossible, du moins très onéreux de mettre en place un dispositif d’interruption automatique des bassins.
Après en avoir débattu,
Le conseil donne acte au maire de ces précisions complémentaires.